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EMPLOI DES JEUNES DANS LE MONDE ARABE

Quatre pays arabes pilotes doivent participer prochainement au projet Silatech, qui est la nouvelle Initiative de l’Alliance des civilisations, et qui consacre 100 millions de dollars à la création d’emplois pour les jeunes du monde arabe.


ALLIANCE DES CIVILISATIONS: PROJET SILATECH POUR L’EMPLOI DES JEUNES DANS LE MONDE ARABE

Au cours d’une conférence de presse tenue à New York le 28 mai dernier, Shamil Idriss a présenté les mesures prévues au titre de cette Initiative, conçue il y a deux ans par la Fondation du Qatar pour l’éducation, la science et le développement communautaire. Les pays pilotes engagés dans ce processus sont le Bahreïn, le Qatar, la République arabe syrienne et le Yémen, auxquels s’ajouteront sans doute un ou deux autres pays.

Ce nouveau projet, issu du Moyen-Orient, a été conçu dans le cadre de l’Alliance des civilisations. Il est au cœur des débats du Sommet qui se tient à Doha du 1er au 2 juin, a indiqué Shamil Idriss. Le but de l’Initiative Silatech est de favoriser l’emploi des jeunes, notamment ceux à la recherche d’un premier emploi, en les mettant en contact avec un réseau d’employeurs et avec des partenaires du monde des affaires. L’objectif est aussi de leur donner des outils pratiques leur permettant d’améliorer leurs compétences et d’accéder aux capitaux.

S’il est prévu essentiellement pour le monde arabe, le projet Silatech a vocation à s’étendre aussi, dans les années qui viennent, à d’autres régions du monde, a expliqué M. Idriss. Silatech, qui veut dire « ton contact » en arabe, a été lancé lors du premier Forum de l’Alliance des civilisations, qui a eu lieu à Madrid en janvier dernier, par Sheikha Moza bint Nasser Al Missned, la Première Dame du Qatar, et par l’Émir Sheikh Hamad bin Khalifa Al Thani. Sheikha Mozah a fait une contribution de 100 millions de dollars pour la mise en place du projet Silatech, a précisé M. Idriss.

Cette Initiative a pour but de s’attaquer au problème grandissant du chômage des jeunes, dont la résolution est une priorité dans le monde arabe. Dans cette région en effet, la Banque mondiale estime qu’il y a 25% de jeunes âgés de 15 à 24 ans qui sont au chômage, ce taux atteignant même, dans certains pays, 37% à 73%.

Pour apporter une réponse à ce problème, a expliqué Shamil Idriss, Silatech a développé une stratégie en trois points qui doit être mise en place dans les pays pilotes. Accélérer les changements au niveau de la politique dans ces pays est la première branche de la stratégie, ceci dans le but de mieux répondre aux attentes des jeunes en quête d’une première embauche et aux entrepreneurs en herbe. Cela doit se faire avec le soutien de partenaires de haut niveau, comme la « Dubaï School of Government », la « Brookings Institution », le groupe Gallup International, le Bureau international du Travail (BIT), la Banque mondiale et l’Université américaine de Beyrouth.

La deuxième branche de la stratégie du projet Silatech prévoit de renforcer les compétences, grâce à des partenaires du monde des affaires, tels que la compagnie Nike, et d’accéder aux capitaux par le biais d’un consortium de banques comme HSBC et Standard Bank.

Le troisième objectif, a poursuivi M. Idriss, est de susciter et de faire vivre la culture et l’esprit d’entreprise dans la région arabe en sensibilisant le public, notamment grâce aux médias. L’idée est d’inciter les jeunes à tirer parti des opportunités que Silatech créerait dans les pays pilotes. Les grandes lignes de la stratégie devraient être exposées lors du prochain Sommet de Doha, organisé par le journal Financial Times et Silatech. Ce Sommet a pour objectif d’explorer et d’encourager tout investissement susceptible d’entrainer la création d’emplois et le développement économique pour les jeunes dans le monde arabe, a précisé M. Idriss. On s’attend à ce que les partenaires et les participants y prennent des engagements importants, a-t-il ajouté.

Le Sommet devrait permettre de rassembler des dirigeants régionaux et mondiaux des secteurs privé et public, ainsi que de la société civile, qui ont une grande influence. Il y aura aussi des personnalités qui s’inquiètent du défi posé par le taux croissant de chômage des jeunes et qui s’intéressent à la façon de débloquer le potentiel des jeunes dans la région arabe et au-delà.

Afin de renforcer et d’élargir le soutien à Silatech, le Sommet devrait aussi annoncer des partenariats et des engagements de haut niveau. Par exemple, a indiqué Shamil Idriss, le groupe informatique CISCO a prévu de créer une nouvelle plate-forme technologique qui fournira un réseau de centres de contacts virtuels dans la région arabe. Ainsi, grâce à des téléphones portables, à l’Internet, à des publications et à la télévision, les jeunes pourront accéder aux informations et aux formations professionnelles, au conseil en matière de carrière, aux services pour la recherche d’emploi, aux services de développement des affaires, ainsi qu’aux possibilités de financement pour les petites et moyennes entreprises.

De son côté, le partenariat de la Banque mondiale qui investit dans la jeunesse va créer un fonds d’affectation spéciale destiné à favoriser l’investissement dans les initiatives entrepreneuriales de la région. Ce fonds fournira aussi des garanties d’emprunt et d’autres produits financiers, afin d’encourager les banques et d’autres institutions financières à créer des pratiques et des produits spéciaux pour les jeunes.

M. Idriss a aussi parlé de la participation de la Fondation Mohamed Bin Rashid Al Maktum, qui a été créée il y a quelques années avec une dotation initiale de 10 milliards de dollars. Elle aidera à planifier et à harmoniser les stratégies dans les pays pilotes, pour en maximiser les effets. En outre, cette Fondation cofinance le lancement du projet Silatech dans les pays pilotes ainsi que d’autres initiatives régionales.

Il est encore prévu, a ajouté M. Idriss, que le Financial Times Stock Exchange aide à débloquer des capitaux d’investissement, en promouvant la création de petites et moyennes entreprises dans le monde arabe. Tous ces partenaires vont œuvrer à créer un nouvel esprit d’entreprenariat parmi les jeunes arabes et à initier un processus de création d’emplois, en commençant dans les pays pilotes.

Shamil Idriss a souligné l’importance du projet Silatech en ce qu’il permet un très haut niveau de coopération entre des entités basées principalement dans les pays musulmans d’un côté, et dans le monde occidental, de l’autre. C’est d’ailleurs une question prioritaire à l’origine de la création de l’Alliance des civilisations, a-t-il relevé. Il a aussi fait remarquer que l’Alliance incite à développer la coopération intersectorielle, entre les sociétés, les gouvernements, les Think-Tanks et les médias. Il y a aussi une coopération interarabe, ce qui est plutôt rare.

L’autre aspect spécifique du projet est son caractère pratique. Car depuis la création de l’Alliance en 2005, on s’est interrogé sur les mesures concrètes qu’elle générait afin de traiter des véritables problèmes qui se posent au monde actuel. Or, la question du chômage des jeunes, en particulier dans le monde arabe, est un des grands défis posés à la communauté internationale, a estimé M. Shamil.

Répondant à une question, Shamil Idriss a indiqué que la plupart des jeunes qui avaient exprimé leur intérêt à participer à cette Initiative étaient des jeunes femmes, dont beaucoup du Qatar. À un autre journaliste, il a indiqué que l’Alliance n’allait pas gérer Silatech, mais seulement y jouer le rôle de facilitateur. Il a assuré que le projet s’inscrit dans le mandat de l’Alliance dont un des domaines d’action, prévus dans le rapport du Secrétaire général de 2006, est celui de la jeunesse, avec le défi particulier du chômage.

M. Idriss a enfin expliqué pourquoi le projet était lancé initialement dans la région arabe. C’est principalement parce que cette partie du monde fait face à une urgence en termes de chômage des jeunes, a-t-il indiqué. Mais c’est aussi parce que le principal financement est fourni par Sheikha Mozah.

Pour conclure, Shamil Idriss a signalé l’adresse du site de l’Alliance des civilisations, qui est la suivante: www.unaoc.org.

Les jeunes et le tabac

La journée mondiale sans tabac, organisée chaque année le 31 mai, est axée autour des dangers du tabac pour la santé et de l’action antitabac de l’OMS. Le tabagisme, qui provoque actuellement la mort d’un adulte sur dix sur la planète, est la deuxième cause de décès au niveau mondial. L’OMS a institué la Journée mondiale sans tabac en 1987 pour faire mieux connaître, partout dans le monde, l’épidémie de tabagisme et ses effets mortels. Le tabagisme est la plus importante épidémie évitable à laquelle les soignants sont confrontés.

La plupart des fumeurs commencent à fumer avant l’âge de 18 ans et près d’un quart d’entre eux ont commencé à consommer du tabac avant l’âge de 10 ans. Plus les jeunes commencent à fumer tôt, plus ils risquent de devenir des fumeurs réguliers et moins ils auront de chances de pouvoir arrêter de fumer.

Selon les résultats de l’enquête mondiale sur le tabagisme chez les jeunes, 20% des jeunes de 13 à 15 ans fument dans le milieu scolaire africain. La Région africaine de l’OMS se trouve ainsi propulsée au 3ème rang mondial après l’Amérique et l’Europe qui enregistrent des taux supérieurs à 20%.
Certains pays sont de loin plus touchés que d’autres, le taux de tabagisme chez les jeunes se situant, dans deux pays de la Région, à 23 et 22,% respectivement. En outre entre 8,5 et 18,2% de jeunes consomment d’autres produits du tabac.

«L’industrie du tabac cible en priorité les jeunes y compris les enfants, et la plupart des gens ne sont pas informées sur les conséquences sanitaires, économiques et sociales liées à la consommation et à l’exposition au tabac», souligne l'OMS.

«Près de 60% des 5,7 millions de cigarettes fumées chaque année dans le monde se trouvent dans les pays en développement de même que 75% des fumeurs. Le tabac tue 5 millions de personnes par an. Si la tendance se poursuit, le nombre de morts dus au tabac atteindra les 10 millions d’ici à 2020, dont 70% dans les pays en développement.»

L’OMS attire régulièrement l’attention sur les risques du tabac pour la santé. Ce produit crée une accoutumance qui, en l’absence d’une prise en charge précoce et adéquate, nuit gravement à la santé. Le tabagisme est responsable de maladies diverses, principalement le cancer, les maladies cardiovasculaires et les affections respiratoires chroniques.

Appel aux jeunes:


Faites connaître votre point de vue aux responsables politiques de votre pays. Préconisez une interdiction totale de la publicité, de la promotion et du parrainage des produits du tabac dans votre pays.
Participez à une campagne d’éducation des jeunes sur les moyens utilisés par l’industrie du tabac pour vous inciter à fumer ou utiliser d’autres formes de tabac par la publicité, la promotion et le parrainage. Faites savoir à l’industrie que les efforts promotionnels coûteux qu’elle déploie n’auront aucune prise sur vous.

>>>Questions-réponses sur une jeunesse sans tabac

>>>Dépliant - L'industrie du tabac cible les plus jeunes [pdf 791kb]

>>> Les jeunes et le tabac - en anglais - Enquête mondiale sur la consommation de tabac chez les jeunes - en anglais.

>>> Initiative "Pour un monde sans tabac"

>>> Tabagisme et lutte antitabac dans le monde


L'image des jeunes tunisiens dans la presse électronique

Les débats de la conférence nationale portant sur "les jeunes et les TIC", organisée à Tunis le 13 mars 2008, ont principalement porté sur "l'idée que se font les jeunes de la presse tunisienne à travers la 3e consultation nationale sur la jeunesse", "l'image des jeunes dans la presse électronique", "les programmes radiophoniques destinés aux jeunes et leur rôle dans la consolidation du sens civique" et "les programmes télévisées destinés aux jeunes et leur rôle dans la dynamisation de leur participation à la vie publique".

Dans une communication portant sur "l'idée que se font les jeunes de la presse nationale à travers la 3e consultation nationale sur la jeunesse", le directeur général de l'observatoire national de la jeunesse, a souligné que "cette consultation a permis, dans le volet portant sur la jeunesse et les Tic, de déterminer le caractère de la relation entre les jeunes et les moyens d'information".
La consultation a montré que "les jeunes sont de plus en plus enclins à regarder la télévision désormais de plus très répandue et très influente sur le comportement en famille, portant ainsi le taux d'audimat régulier des jeunes à 37,7 %, notamment celui des chaînes étrangères, alors que le taux d'écoute radiophonique est devenu occasionnel, les jeunes préférant désormais les programmes radiophoniques récréatifs".
Il a indiqué que "la diffusion à une grande échelle des stations de radio et de télévision s'est accompagnée d'une diversification des choix et de suivi des programmes, faisant remarquer que l'engouement des jeunes pour les chaines télévisées est liée à certaines mutations en rapport avec les goûts, le niveau socio-culturel et des orientations culturelles des téléspectateurs".
"Il ressort des résultats de la consultation que les problèmes sociaux, les questions de sport, de culture et d'art viennent en tête des centres d'intérêt des jeunes dans la presse nationale", a-t-il ajouté.
Le directeur général de l'observatoire a relevé, par ailleurs, que "la culture numérique se propage rapidement dans le milieu des jeunes tunisiens avec l'utilisation de plus en plus répandu de l'ordinateur et de l'internet", rappelant que "le système éducatif joue un role important dans la diffusion des TIC modernes".
Traitant du thème de "l'image du jeune dans la presse électronique", Mohamed Missaoui, président- directeur général de l'Agence Tunis Afrique Presse (TAP), a mis l'accent, de son coté, sur l'importance de cette conférence organisée dans le cadre de l'année du dialogue avec les jeunes, initiée par le président Zine El Abidine Ben Ali en tant qu'étape importante dans l'écoute des aspirations des jeunes tunisiens, en considération pour leur place privilégiée dans la politique de la Tunisie.
Il relevé que "la relation entre jeunes et presse écrite revêt une grande importance étant donné la forte densité que représente les jeunes dans la pyramide démographique de la Tunisie et de leur capacité d'influence sur les différents domaines de la vie".
Evoquant le débat sur l'aptitude de la presse écrite à refléter l'image réelle des jeunes tunisiens, M. Missaoui a mis en relief les acquis accomplis dans le domaine de la liberté de la presse et l'évolution du discours médiatique destiné aux jeunes.
Il a mis l'accent, à ce propos, sur l'importance de la spécialisation dans le domaine de la presse destinée aux jeunes afin de relever le niveau de la production journalistique consacrée à cette frange de la société.
M. Missaoui a souligné, d'autre part, que l'adhésion des jeunes nécessite désormais l'amélioration des styles d'écriture, estimant que "le concept de presse destinée aux jeunes est un concept changeant", rappelant à cet égard le grand rôle que peut jouer l'observatoire national des jeunes, le Conseil supérieur de la communication (CSC) et l'Institut de presse et des ciences de l'information (IPSI) "dans l'approfondissement de l'étude de cette question et l'examen des moyens de faire évoluer, varier et enrichir le produit médiatique destiné aux jeunes".
Mansour Mhenni, président-directeur général de l'Etablissement de la radio tunisienne (ERT), a relevé, dans sa communication sur "Le rôle des programmes radiophoniques destinés aux jeunes dans le développement du sens civique", que le débat sur cette question "met en relief l'influence positive de la radio sur le public, notamment les jeunes, et le développement du comportement citoyen", soulignant que la radio "demeure le moyen d'information le plus proche des jeunes".
"La radio tunisienne vit actuellement une période d'instauration d'un nouveau système médiatique, à la suite de la décision du chef de l'Etat de la dissocier de la télévision, et elle oeuvre désormais à changer de forme et de contenu afin d'être au diapason des transformations profondes que connait la société et à voir ses programmes répondre aux attentes du public, notamment les jeunes".
Il a souligné que "le succès du travail radiophonique est une responsabilité commune entre cadre dirigeant, producteur, animateur et auditeur (jeune), au niveau du choix des programmes et des sujets traités, affirmant qu'ils visent essentiellement "à enraciner les constantes sur laquelle se fondent la politique tunisienne".
Traitant de la question des "role des programmes télévisés destinés aux jeunes dans la dynamisation de sa participation à la vie publique", Moncef Gouja, président -directeur général de l'établissement de la télévision tunisienne (ETT), a affirmé que "l'année du dialogue avec les jeunes constitue une occasion pour la presse, sous toutes ses formes, d'être à l'écoute des préoccupations des jeunes".
"La grande dynamique que connait le secteur des médias avec notamment la multiplication des chaînes de télevision satellitaires et la diffusion de l'internet a rendu difficile, a- t- il estimé, la détermination des attentes réelles des jeunes qui sont de plus en plus en quête de programmes de qualité qui répondent à leurs goûts, en particulier les programmes sportifs".
Il a souligné que "la télévision doit de nos jours respecter les normes internationales de la qualité en matière d'informations audiovisuelles afin de faire évoluer ses programmes, du point de vue forme et contenu, et de projeter une image reflétant la réalité et les aspirations de la jeunesse tunisienne". (Sources et photo Agence TAP)

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Nota Bene

Un traité international sur la lutte antitabac?

Aujourd'hui dans le monde, la consommation de tabac est la première cause de décès évitables. Avec 4,9 millions de morts par an, aucun autre produit n'est plus dangereux, ni ne tue autant que le tabac. Mais l'adoption de ce traité international novateur permettra désormais de protéger des milliards de personnes des effets dévastateurs de la consommation du tabac et de l'exposition à la fumée.

Le 21 mai 2003 a été une date historique pour la santé publique mondiale. Lors de la Cinquante-Sixième Assemblée mondiale de la Santé, les 192 Etats membres de l'OMS ont adopté à l'unanimité la convention-cadre pour la lutte antitabac, le premier traité de santé publique. Négociée sous l'égide de l'OMS, il s'agit du premier instrument juridique conçu pour faire diminuer la mortalité due au tabac dans le monde. L'enjeu pour les pays est maintenant de signer et de ratifier la convention aussi vite que possible.

Quelques faits et chiffres

:: Le tabac provoque environ 13 500 morts par jour
:: La moitié des enfants sont exposés à la fumée du tabac chez eux
:: 47,5 % des hommes fument
:: 10,3 % des femmes fument
:: Le tabac provoque de graves problèmes de santé [pdf 363kb]
:: La cigarette est le seul produit légal de consommation qui tue en l'utilisant normalement.


"La révolution numérique a rendu les jeunes plus à même d’apporter un changement social positif. Les technologies de l’information et des communications leur offrent les moyens d’acquérir de nouvelles compétences, de mettre en commun leurs connaissances et de renforcer les capacités humaines. Grâce à la facilité des échanges d’informations à travers le monde, les jeunes peuvent plus aisément promouvoir des changements véritables, au niveau local aussi bien que mondial. Ils peuvent créer des réseaux sociaux à l’appui de nos objectifs en matière d’éducation, de santé et de gouvernance, et apporter des idées novatrices en vue de relever les défis liés à la mondialisation." Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU, Forum mondial sur la jeunesse et les technologies de l’information et des communications au service du développement, 24 septemre 2007

Liens

Sommet mondial sur la société de l'information

Les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication en Tunisie

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Technologies de l'information et de la communication en éducation (PDF)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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